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 Alexander Svensson

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Alexander Svensson

Alexander Svensson
Messages : 127
Date d'inscription : 21/02/2010
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Force : Contrôlant mal ses propres pouvoirs de chasseurs et atteint d'une schizophrénie grave, cela en fait ironiquement un adversaire redoutable, imprévisible en toute forme.
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MessageSujet: Alexander Svensson   Alexander Svensson Icon_minitimeDim 21 Fév - 19:25
    Adresse du PV : Aucun. Inexistant, personnage autre.

    Sujets non désirés : Rien en particulier. (quoique préférence pour les histoires noires)
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Malicious

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MessageSujet: Re: Alexander Svensson   Alexander Svensson Icon_minitimeDim 21 Fév - 19:34
Merci de te diriger dabord => ICI

Je verrouille en attendant... What a Face
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Malicious

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MessageSujet: Re: Alexander Svensson   Alexander Svensson Icon_minitimeMar 23 Fév - 21:02
Voici le test RP.

Citation :
Tu dois mettre tes capacités de bon chasseur à rude épreuve. Un vampire féminin, particulièrement jolie , t'affronte et te nargue. N'étant qu'à quelques mètres de ta personne, tu sais que tu peux la vaincre, mais tu ne comprend pas pourquoi tu ne l'attaques pas. Explique tes sentiments et tes pensées à travers un écrit qui fait plus de 20 lignes.

GOOD LUCK
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Alexander Svensson

Alexander Svensson
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MessageSujet: Re: Alexander Svensson   Alexander Svensson Icon_minitimeSam 27 Fév - 3:21
    Alexander Svensson GodsawyoufuckingAlexander Svensson Arentweallalovelyarchip Alexander Svensson St02

    All at once,
    Rushing from the sub-pump:
    Or so the story goes
    […]

    Il ne savait plus déjà. C’était ambigu, déchirant. Il avait tout feinté, à présent. Tout bonnement, comme ça chaque fois. Comme à chaque fois que cette passion du mal, cette souffrance de faire le bien le prenait, dans cette simulation qu’il engendrait, exagérant son rire déjà nerveux. Il ne pouvait s’y résigner : du moins, pas encore. Il voulait l’aimer, la tuer.

    Les briques expirant la froideur de la nuit contre son dos, Svensson s’obstinait à esquiver les yeux brillants de la jeune femme qui ne savait que le prénom. Elle était éphémère. Innocente, belle, aussi. Elle n’attendait sûrement rien. Elle attendait le dénouement habituel. Elle attendait l’ivresse, elle l’atteindrait, lui, sans doute, mais jamais fatalement. Elle allait filer comme cet air trop léger, ce soir, qui pesait, alourdissait les pensées de l’homme dérangé.

    Sa nervosité habituelle s’exagérait peut-être encore : ses mains tremblaient, maintenant. Il n’avait pas peur d’elle. Il avait peur de ses propres gestes, de ses propres actions. Il se contrôlait mal, jambes en coton, gorge sèche, le schizophrène abordait un demi-sourire, qui ainsi articulé dans son visage jeune mais fatigué, mal-rasé, visiblement tendu, ressemblait à un rictus méphistophélique. Ses songes s’intensifiaient, se compliquaient, se brouillaient ; le cleptomane enfonçait ses mains dans ses poches, lèvres serrées, silencieux, y tâtant la lame du poignard du bout des doigts.

    Elle, merveilleuse, elle parlait peut-être –il oubliait d’écouter ses déblatérations- elle était un spectacle en elle-même, ainsi accoudé contre la balustrade du vieil appartement où ils se tenaient face à l’autre, frugalement dévoilé par un réverbère à quelques mètres d’eux. Ses mains qui transperçaient cette brise, ses cheveux blonds dégageant ses épaules ainsi dévoilées par son chemisier révélateur, au tissu blanc, transparent, faisant entrevoir sa peau porcelaine. À ses côtés, Alexander, errant depuis quelques jours sans domicile, la mine livide, sale, contrastait par son visage angélique, dans l’altération qu’il devait normalement apparaitre comme, pour la société. Ce qu’il ressentait, c’était cette salvatrice magie s’opérer en lui. C’était ce goût du sang. Ce goût de l’autre, ce goût de l’envie, de la destruction : l’anéantissement de ses propres caprices. C’était ce goût qui s’opposait à toute sa discrétion habituelle, toute son amabilité ; c’était son entité renversée, contraire à qui il s’opposait. Ce goût de démesure, d’extravagance, de meurtre, d’adrénaline, de forces démesurées dans ce corps qu’il n’arrivait à contrôler, qui ne faisait plus partie de lui.

    C’était sans doute libérateur. C’était peut-être inné. Animal. Ironiquement, ça équilibrait sans doute son esprit décalé, sa folie, cette démoniaque destruction dans laquelle il s’engageait sans repères, qui l’envahissait, le contrôlait, sans mesures. De son corps frêle, mais bonnement sculpté, il se balançait contre le mur, forçant le couteau à s’enfoncer dans sa propre paume, voulant freiner la dégradation de sa vision s’aggravant. Il voulait arrêter et il ne voulait s’y résigner, à tuer, à sentir ce doux engourdissement dans son corps. Car à travers cette mise en scène, c’était avant tout ce combat, dramatique, tanguant dangereusement : ce n’était pas se battre avec elle, c’était se battre contre lui-même, homme maintenant faible, divaguant dans des fictions exécrables, qui espérait, pathétiquement. C’était qu’il ne voulait pas avouer son caractère ambivalent, instable, au peu de connaissance qu’il acquérait. C’était qu’il avait peur, qu’il avait peur de les perdre, qu’il avait peur de lui-même surtout. C’était qu’il ne voulait révéler à personne ce meurtrier caché entre ses entrailles, qui rongeait son cœur, l’humanité qui en contenait.

    Nectar précieux coulant entre ses phalanges, Alex’ sentit bientôt les poches de son manteau imbibées de rouge, alors qu’il voulait noyer ce sentiment, ce ressentiment poignant, mortel en lui. Teint cireux, lèvres fendues, entrouvertes, dévoilant toute son innocence, sa beauté juvénile, encore, le peintre crois finalement le regard de la belle, silencieuse.

    Et malgré lui, il s’enfermait dans sa prison sans mots, sans explications, il restait seul dans son royaume mal mené. Oui, car il la voyait, maintenant tentée, charmante ; l’anglais l’observait s’approcher, de son regard aux pupilles noires, vitreuses, et y découvrit ses canines proéminentes, son sourire trop large.

    Dans ce tableau encore trop sage, il y avait encore malheureuse contradiction, davantage troublante dans Alexander. Un haut-le-cœur le prit, le fit déglutir alors qu’elle feintait vouloir l’embrasser, et ce même vertige le prit de nouveau, alors qu’il imposait malgré lui son identité mitigée, cette nostalgie de pouvoir contrôler quelqu’un à qui il ne voulait pas réellement faire du mal ; auquel il ne voulait pas s’abandonner, pas y extirper gratuitement sa folie. Dédaigneux, il n’osa la toucher, échappant son poignard ensanglanté de son propre sang dans le caniveau à ses pieds, se ruant à la place dans l’allée voisine de la ruelle désaffectée où ils se tenaient. Il voulait échapper à sa destinée. Il voulait lui échapper à elle. Il ne voulait pas sentir sa souffrance s’extirpant de sa ferveur, alors qu’il poserait ses mains sur elle, qu’il tenterait de la tuer délicatement. Il voulait s’échapper à lui-même. À son état, dégradant, malhonnête. Il n’osait plus se regarder en face ; il était devenu pathétique, en se droguant, en échappant à la réalité. Lucide dans l’anicroche qui l’entourait, il voulait échapper à cet incident perpétuel que ses psychoses l’obligeaient à contrôler. Silhouette si frêle, au loin, alors qu’il courrait, sans cesse, titubant à l’horizon, malhonnête, innocent de ses crimes, le rouge tapissait bientôt ses pas, ses vêtements. Il laissait son ennemie, se transformait en proie lui-même. Mais, pour la première fois, il avait pus lui échapper, lui échapper avant qu’il soit trop tard ; avant qu’il ait l’idée de la tuer, avant qu’il ait laissé cet assassin qu’il faisait s’emparer de son couteau, et la découper, de l’écorcher vive, aussi psychotique, dérangé et passionné qu’il était dans cet étrange personnage à deux faces qu’il constituait sans la prise de ses foutus médicaments qui supposément « atténuait les altérations de la perception de la réalité, les troubles cognitifs, et les dysfonctionnements sociaux et comportementaux plus ou moins importants. »

    Courant, toujours, infiniment, il voulait détruire le monstre, retrouver le gardien du temps, le jeune homme au sourire discret, et observant sa main gauche tortueuse, la marque de la lame y ayant laissé une strie mince et inégale, il vu dans cet œuvre son acharnement personnel à sa recherche de son identité. Il vu ce déni du mal, tellement fort. Il vu qu’il voulait alors si profusément, qu’il s’infligeait à lui-même ce mal. Passions mitigées, inavoué, incompris, il se voyait malade, jouant avec la mort aux yeux de tous, y recherchant quelque chose de plus grand que la mort : la vie, dans toute sa vérité déchirante, dans ce bonheur dont il fallait soupeser chaque gramme. Cette tempête, au fond de lui : ce déchirement, cette brèche, si fatale, si près. Encore conscient, il se savait fou, mais jusqu’où ? Jusqu’au point de finir par se tuer, faute de ne vouloir heurter personne ? Jusqu’à torturer des connaissances éparpillées pour leur faire peur, sans le vouloir ? Il n’avait pas le contrôle, et, ça, c’est ce qu’il redoutait… Et il devait se résigner à souffrir, souffrir pour devoir payer de son double caractère, de cette lueur déplorablement brillante, au fond de ses sombres pupilles alors qu’à tout moment, au moindre mécontentement, il pourrait y laisser la peau des protagonistes qui entouraient sa vie, damnés au désordre d’un homme qui ne se reconnaissait plus et qui savait le prix de ses erreurs.
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MessageSujet: Re: Alexander Svensson   Alexander Svensson Icon_minitimeSam 27 Fév - 4:13
SUPER NIVEAU, ce qui ne fait que confirmer ce que je pensais déjà <3
PASSE ;A TA FICHE IMMÉDIATEMENNNNT.
ah ET P.S ; c'est Liam , j'ai juste trop la flemme pour changer. OoOoOoO
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Alexander Svensson

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MessageSujet: Re: Alexander Svensson   Alexander Svensson Icon_minitimeSam 27 Fév - 4:26
Ah, merci beaucoup! : )
Je continue ma fiche dès que j'ai le temps : D
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MessageSujet: Re: Alexander Svensson   Alexander Svensson Icon_minitime
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