YOUR STORY ; l'histoire inévitable et tragique de votre personnage.

MANSON Lilly Aliénor ft. keira Knightley ▬ (c) PEPPERCORN*

Spoiler:

○ âge du personnage ; 234 ans mais en apparence 23 ans (Soyez pas jalouse *sbaff*). ○ Lieu de naissance et date ; Vous savez avec le temps on oublie sa date de naissance mais aussi son année qu\'on ne compte plus un passage. Cependant étant donné que ma date naissance et synonyme aussi de celle de son jumeau je peux simplement vous dire que je suis née un 17 Juillet à Paris ... ○ Origines s\'il en a ; Francaise de pure souche x). ○ Groupes ; Vampire ○ Profession ; Professeurjustify]

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All the small things you left behind

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○ Relationships; : [justify] ESTEBAN R. DOMINGEZ You should be my lover ? Oh Esteban si seulement tu savais a quel point je te hais pour faire naitre en moi des sentiments que je n'aurais jamais cru encore présent et qui me font douter. Oui tu me fais douter mais je ne peux avouer tout ça ! Tu es un humain et moi une vampire nous n'avons aucun avenir ensemble pourtant même si je suis infecte avec toi dans l'espoir de te faire fuir mais je ne peux me résoudre à m'éloigner de toi. Tout aurait été si facile si nos chemins ne s'étaient pas croisés . DESMUND E. PATTERSON Why ?! Desmund tu es différent des autres et c\'est pour ça que je t'apprécie. Alors tu devrais vouloir ma mort à cause de ma nature tu semble avoir des sentiments plus forts pour moi, des sentiments que je te rendrais jamais. Tu es humain et qui plus est un chasseur alors que je suis une vampire celle que devrais vouloir ta mort. Pourtant je ne peux te faire du mal alors je t\'en conjure cesse de me rechercher plus pour ton bien que pour le mien . ANGELA Z. WINSTON But you ... I hate you ! Au départ je ne te voulais aucun mal jolie humaine mais tu as touché à la seule chose qu'il ne fallait en aucun toucher ! Esteban. Quand je pense que tu as voulu sa mort, je ne peux le concevoir et s'il faut ta mort pour le mettre en sécurité je te tuerais de mes propres mains s'il le fallait. Tu ne me fais pas peur loin de là mais l'idée de tuer me répugne encore trop pour passer a l\'acte mais mefie toi de l'eau qui dort ... . ANNABELLE S. MICHAEL Little girl Dès que je t'ai vu j'ai su que je devais veiller sur toi petite fille. Tu as tout perdu et j'ai peur aussi que tu suives le même chemin que tes parents. Tu connais ma nature pourtant tu n'as pas peur de moi. Je pensais que tout sentiment maternel avait disparut pourtant je m'inquiète sans cesse pour toi. Si tu savais comme le mnde extérieur est terrible et dangereux. Même si j'ai loin d'avoir l'étoffe d'un ange gardien, je serais là pour veiller sur toi ... .

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Who's behind the computer.

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○ Votre nom, pseudo?; : Jenny ○ Votre âge; 19 ans ○ Avis général sur DS; J\'aime beaucoup le contexte et bon si je suis ici \'est à cause d'une personne :roll: ○ Avis sur le design; Franchement je le trouve pas beau ... Nah il est magnifique !!!! Je dis bravo a Malicious pour ce chef d\'oeuvre !!! ○ Votre disponibilité?; 5 jours sur 7 ○ Le code du règlement; Spoiler: ○ Le mot de la fin; J'aime ma Rose

Dans une époque ou les pauvres mourraient chaque hiver à cause du froid et du manque de nourriture dans la plus prestigieuse capitale du monde entier j’ai nommée Paris. Cette ville n’était pas aussi belle et respectable qu’à notre époque au contraire même … Les gens vivaient dans la rue, dans la misère mais aussi dans la saleté qui était pour eux leur lot quotidien. Pourtant malgré tout aucun n’avait eut l’idée de se plaindre de perdre le peu de revenu qu’ils gagnaient tous les mois. Le mot révolution germait peu à peu dans leur esprit sans pour autant les obséder. Dans une ruelle pourtant une jeune fille à la toilette salies et trouée trainait avec peine un sac de farine que son père lui avait demandé de ramener dans leur demeure. Ses traits tirés par l’effort dessus une peau rougie vu l’afflux de sang dans son visage, elle poussait des petits cris mais tout les passants la regardèrent sans pour autant lui venir en aide à croire qu’à ce niveau les mentalités n’ont toujours pas changé même à notre époque. Pourtant alors qu’elle lâchait le sac résignait de sa force trop faible pour cette tâche et que des larmes de rage commençaient à couler sur ses joues un jeune homme à peine plus âgé qu’elle vint à son secours. Et voila comment deux âmes sœurs se sont rencontrés pour ne jamais se séparer. Peu de temps après malgré un mariage modeste, la famille s’agrandit dans la douleur et la peine. Il faisait nuit lorsque la future maman ressentit les premières contractions. Malgré la douleur qui naissait sur son visage, on pouvait aussi voir dans ses yeux tout le bonheur que la naissance de leur premier enfant lui procurait. Dans un ultime effort elle mit au monde son premier enfant, un petit garçon alors que la fatigue la submergeait peu à peu. Sa respiration était saccadée pourtant malgré la sortie de son bébé la douleur lui tordait toujours les entrailles à croire que tout n’était pas finie. Ce qui fut le cas vu que la jeune femme mit au monde le même matin sa petite fille cependant alors qu’une vie s’allumait une autre s’éteignait … Tout était une question d’équilibre et cette famille venait d’en faire les frais. Quand à cet homme à qui le destin souriait quelques heures plus tôt il venait à présent de tout perdre pourtant lorsque son regard se posa sur les derniers cadeaux de sa défunte épouse il ne put renoncer à sa vie.

Cachée derrière la porte du salon de notre maison je regardais mon père discuter avec un homme barbu à l’aura malsaine. Malgré l’obscurité je pouvais lire sur son visage le sourire mauvais et la jubilation que lui provoquait la résignation de mon père. Tendant l’oreille un peu plus même si je savais très bien de quoi ils parlaient, je ne pus réprimer ma peine face à cette réalité désarmante. Courbant la poitrine je plaquais ma main sur ma bouche pour qu’aucun son ne s’échappe de ma bouche alors que des sanglots agitaient ma poitrine. J’avais mal et l’idée qu’on vienne à nous prendre notre maison m’attristait au plus au point. Je n’avais que 12 ans pourtant je pouvais comprendre les choses et le fait que le roi voulait nous voler notre maison était facile a comprendre pour une jeune fille comme moi. Pour mon âge j’étais assez grande et sans aucunes formes pour changer mais certains me trouver mignonne voir même appétissante … Alors que je m’étais rapprochée un peu plus de la porte d’entrée une main se posa sur mon épaule tout en me faisant sursauter. Ma respiration se coupa nette et c’était dans un geste long que je tournais la tête dans l’espoir de ne pas voir une autre personne que mon frère derrière moi. Je lâchais alors un soupir de soulagement face à mon jumeau tout en lui ébouriffant les cheveux avec ma main.

LILLY– « Monsieur Ethan Manson vous êtes un idiot qui a osé me fait peur ! »
ETHAN– « Et vous Mademoiselle Lilly Manson on ne vous a jamais appris qu’écouter aux portes était mal ! »

Pourquoi fallait-il que mon frère ait la même repartie que moi ?! Lui tirant la langue j’attrapais sa main pour le forcer lui aussi à écouter la discussion entre notre père et l’homme barbu. Au fil des paroles énonçaient inconsciemment je me blottis dans les bras de mon frère qui ouvrit sans rechigner les bras pour m’accueillir. Certes la peine était la mais la présence de mon frère me m’apaisait. Caressant doucement mes cheveux il me murmura à l’oreille :

ETHAN – « Viens ma Lilly nous en avons assez entendu pour ce soir, tu ne crois pas. »

Je levais mon regard humide vers lui tout en acquiesçant de la tête. Je ne pouvais continuer à écouter la fin de notre vie en ce lieu où maman était morte. Elle était présente dans chaque coin de la maison, je le sentais, je le savais ! Tirée par la main de mon frère nous atteignîmes rapidement sa chambre où je pris place à ses côtés dans son lit. Même si au départ papa avait râlé lorsqu’il nous trouvait dans le même lit le matin il avait compris que le lien qui nous unissait était bien plus fort qu’il ne le pensait. Ethan était une partie de moi tout comme je l’étais pour lui. Blottie dans ses bras tout le monde qui m’entourait n’était plus aussi effrayant qu’avant. Ses bras forts pour son âge vu les travaux qu’il faisait pour soulager notre père un maximum me collaient un peu plus contre lui. Sa tête était posée dans le creux de mon épaule alors que son souffle chaud qui descendait le long de ma clavicule m’apaisait. Je fermais les yeux un court instant dans l’espoir que la conversation que j’avais entendu n’était qu’un vulgaire cauchemar pourtant les sanglots qui agitèrent ma poitrine me prouvèrent le contraire. Telle une mère pour son enfant voir même un amant pour sa bien aimé, les bras de mon jumeau se refermèrent encore plus autours de ma taille jusqu'à ce que je puisse entendre nos cœurs battre à l’unisson. Oui je l’aimais bien plus que de raison, j’étais lui il était moi … Même si je n’entendais aucun soupir voir même de sanglot de sa part je me retournais sur moi-même pour lui faire face. Il souffrait autant que moi pourtant à ma différence il avait toujours apprit à être fort et à refouler ses sentiments de plus comme il aimait si bien le dire j’exprimer nos sentiments pour nous deux. Yeux dans les yeux, je portais ma main sur sa joue tout en la caressant doucement. Les rôles semblaient s’être inversés une fois de plus et j’étais devenue la mère et lui l’enfant même si aucunes larmes ne passaient les frontière de ses yeux. Pourtant son regard en disait long sur la souffrance qui l’agitait en cet instant. Je ne pleurais plus à présent malgré le sillon d’eau salée qui demeurait toujours le long de mes joues comme le vestige d’une bataille passée. Dans un murmure je prononçais les seuls mots qui nous permettraient d’avancer encore et encore dans ce monde qui semblait ne pas vouloir de nous. Des mots qui nous laisseraient espérer encore et encore que demain serait meilleur. Les hommes ne peuvent vivre sans espoir …

• LILLY – « Tout va finir par s’arranger ! »

Comment de simples mots pouvaient avoir une telle influence sur nous et nos sentiments. Fermant les yeux je me permis même de rêver à un avenir meilleur. Un avenir où les jours qui passaient ne me feraient plus autant peur, où avancer dans la vie ne serait plus un lourd fardeau bien trop lourd pour nos épaules d’enfant.

La rue était déserte plongée dans une obscurité malsaine qui faisait frissonner mon corps prêt à se briser en miles morceaux. Heureusement le rire de mon frère me détendit quelque peu alors qu’il me poussait sur la droite dans l’espoir que je le suive dans son euphorie, chose que je ne fis pas. Non la journée pénible que j’avais vécut revenait sans cesse dans mon esprit par brides de souvenirs que j’aurais aimé oublier. L’homme barbu était venu prêt de moi pour me dire ses choses n’ayant ni queue ni tête. Il m’avait parlé d’un meilleur avenir seulement lui et moi, il promettait monts et merveilles chose que toute femme normalement constituée aurait acceptée. Pourtant il cogna à un mur qui au lieu de lui répondre joua la carte de l’ignorance la plus totale … Un éclair de rage traversa son regard tout en poussant un passage à faire un pas en arrière par simple instinct de préservation. Certes mon frère avait très bien compris que quelque chose venait de se produire sans pour autant que je lui en dise un mot malgré son insistance. Il serait inquiété pour rien une fois de plus. Alors que nous tournions à l’angle de la rue ce qui signifiait que la maison n’était plus très loin un bruit de pas se fit entendre. Des pas au rythme irrégulier qui n’annonçait rien de bon … Sans même que je puisse comprendre ce qui m’arrivait une main agrippa mon bras avec une telle violence que je pus refouler un cri de douleur de franchir mes lèvres. Malgré ma résistance et mes cris je me sentais emporter contre ma volonté alors que des larmes coulaient le long de mes joues une nouvelle fois. Pourtant alors que je croyais que tout espoir avait disparut je sentis des doigts fins s’enrouler autours de mon autre bras et malgré toute la joie que je ressentais mes cris devinrent plus fort. Je sentis mon corps se démembrait peu à peu alors que ma respiration se faisait saccadée. Alors que j’allais céder à la douleur qui m’animait mon corps tomba sur le côté. Et avant même que je puisse revenir sur terre pour reprendre mes esprits, j’entendis mon frère me crier dessus tout en attrapant mon bras pour me lever et fuir. L’adrénaline coulait à flot et j’entendais mon cœur battre dans mes oreilles tout en me rendant sourde au passage. Je courais encore et encore et ce ne fut que lorsque mon frère refermât la porte de notre maison derrière moi que je m’effondrais sur le sol vidait de toute énergie. J’avais peur … A présent nous n’avions plus aucun autre choix que de fuir …

Ma vie était devenue un enfer dans lequel je m’enfonçais petit à petit sans avoir aucune chance pour m’en sortir. Je n’étais plus qu’une ombre de moi-même, une ombre seule et si fragile qui essayait de se frayer un chemin dans ce monde si hostile. Une partie de moi était morte en même temps qu’une vie s’éteignait. Une vie, ma vie … Il était mort pour moi … « Ma vie pour la tienne » Pourquoi avait il fait ce geste pour me laisser libre ? Pourquoi avait il sacrifier sa vie ? Et savait il qu’en faisant ce geste il me tuait à petit feu. Oui je lui en voulais de m’avoir quitté ! Et pourtant malgré toutes mes pensées morbides je ne pouvais franchir le pas pour mettre en scène ma mort. Dans un sens je devais me forcer à vivre pour lui pour ne pas que son geste soit vain pourtant vivre sans lui était une torture de chaque instant pour moi. Je voyais sans cesse son visage devant mes yeux sans pour autant le toucher. Nous étions dans deux mondes différents à présent … Deux mondes qui ne pourraient en aucun cas s’unir … J’avais tout quitté pour partir loin des souvenirs qui me rendait plus faible de jour en jour. Je m’étais réfugiée en Angleterre dans l’espoir que les gens là bas aurait eut une influence sur moi mais non ! Le climat maussade n’avait en rien arrangé tout ça. Marchant dans les rues malgré la nuit alarmante qui m’encerclait j’avançais un pas puis l’autre sans vraiment savoir où j’allais. L’eau dégoulinait le long de mon visage tout en collant au passage mes cheveux contre ma peau brulante. Mourir de maladie était surement la meilleure chose qui pourrait m’arriver en ce monde pourtant si j’avais su qu’en cette nuit tout allait changer je n’aurais pas mit un pied dehors. La tête commençait peu à peu à tournait alors que je frissonnais au vue de la fièvre qui m’emportait peu à peu dans l’inconscient. Je prenais appui sur une gouttière dans l’espoir que mon malaise allait cesser mais non. Mes oreilles se bouchèrent et ma vue s’assombrie encore plus et peu à peu je sentis mon corps s’affaissait pourtant à ma plus grande surprise des bras encerclèrent mon corps fragile et s’ouvrant avant que je ne sombre dans le néant de mon être. A mon réveil je ne pus réprimer un cri de douleur face à mes muscles endoloris qui refusaient de m’obéir. Levant la tête je croissais alors son regard pour ne plus le quitter. Sa beauté m’en coupa le souffle et mon regard s’attarda sur chaque parcelle de son corps dont l’envie de les parcourir avec mes mains était insoutenable.

• EZECKIEL – « Mon ange m’offre enfin grâce de sa présence ! »

Son accent anglais chantant arriva à mes oreilles dans un petit concerto du meilleur opéra de Paris et je me surpris même à fermer les yeux pour enregistrer chaque son que sa voix faisait. Et pour la première fois depuis des mois je venais à ne plus penser à mon défunt frère. En quelques instant l’inconnu fut à mes côtés et sa main glacée vint alors caressait mon visage tout en me faisant sursauter lors de son premier contact. Ma peau était toujours brulante et la froideur de sa paume me faisait un bien fou. Doucement il se pencha sur moi pour embrasser mon front puis l’arcade mon menton pour descendre le long de ma nuque dénudée.

EZECKIEL – « Tu es si faible mon ange ! »

Ses mots résonnaient dans ma tête alors que je la laissais tomber doucement sur l’oreiller en soie. Telle une mère avec son enfant il passa ses bras ses bras autours de ma poitrine et de ma nuque pour me faire boire une soupe aux gouts peu appétissant mais qui calma ma faim. Sa bouche était tout près de la mienne et j’eus l’envie soudaine d’y gouter. Son haleine glacée parcourait la courbe de mon nez et j’entrouvris les lèvres pour en inspirer un maximum quitte à m’enivrer de lui. Pourtant alors que je faisais un geste en sa direction il me repoussa doucement et me coucha tout en me recouvrant d’une couverture. J’aurais tellement aimé le regarder encore et encore mais Morphée en décida autrement. Entre songes et réalités les jours qui précédèrent me semblèrent si fabuleux et si exquis qu’une humaine ne pouvait vraiment les apprécier à leur juste valeur. L’inconnu ne m’avait pas quitté d’une semelle avec son regard remplie d’une lueur d’inquiétude assimilable à celle de mon jumeau. Pourtant même si j’étais blottie dans des draps tout en ayant les meilleurs soins possibles, la maladie m’emportait peu à peu … Ma respiration se faisait de plus en plus douloureuse et ma poitrine se soulevait avec un sifflement sinistre. Tout mon corps se tordait à cause de la douleur qui l’empêchait de faire le moindre geste. Je demeurais vivante dans un sarcophage qu’était mon corps. La nuit était tombée lorsque mon dernier souffle allait sonner. Secouer de spasmes mon corps se soulevait dans le lit agité alors de tremblement. En quelques instant il fut à mes côtés et ses bras glacés m’enlacèrent avec une telle hargne que mon corps resta immobile alors que ma respiration sifflante s’échappait avec peine de ma bouche. Même si ma vue c’était voilé je l’entendis murmurer des paroles si douces et apaisantes que j’étais à présent prête à quitter ce monde. La mort dans ses bras me semblait bien plus légère. Pourtant alors que je fermais les yeux, une douleur dans ma nuque contracta mon corps dans un ultime sursaut de vie. Aucun cri ne sortit de ma gorge alors que je sentais les lèvres de mon sauveur contre ma peau … Heureusement pour moi la douleur disparut rapidement et mon corps s’affaissa vidé de toute énergie. Un liquide chaud coula alors dans ma bouche sans que je puisse faire le moindre geste pour le refuser et sans pour pourtant que j’en goute la saveur inconnue. Ma tête tournait et d’un sursaut je sombrais dans le néant comme si la mort m’ouvrait enfin ses bras. Pourtant plongée dans le noir comme dans un vulgaire sommeil, je n’aurais jamais cru que la mort soit aussi banale en soit. Du moins jusqu'à ce mon jumeau, ma moitié vienne se poser devant moi avec son sourire malicieux que j’aimais tant. Pourtant lorsque je tendis mes bras vers lui son sourire se transforma en grimace. Je pouvais lire sur ses traits toute l’horreur que je lui donnais alors que des larmes d’incompréhension coulaient sur mon visage. Il était la seule personne qui comptait pour moi et le voir me rejeter à ce point comme si je n’étais plus digne de lui ! Comme si à présent je n’étais pour lui qu’une vulgaire fille, qu’un vulgaire déchet auquel il n’accorderait plus aucune importance. Comment pouvait il me faire ça alors que l’éternité était notre en cet instant. Mon corps se tordit vu la douleur qui éclata dans mon être sans aucun prémices pour me laisser au moins le temps de me préparer. Mon corps s’enflammait comme si on me brulait de l’intérieur. Je tombais sur le sol et la douleur que je ressentis face à ma chute fut si négligeable à celle qui se propageait dans mon être. Mon cœur saignait comme si on venait de m’enfoncer un poignard dans le cœur. Un cri s’échappa de ma gorge alors que j’ouvrais les yeux avec une petite douleur dans la nuque comme si on venait de me faire un massage avec deux mains gauches. Et c’est ainsi que ma vie d’éternelle commença …

Assisse dans le lit dans les bras de mon sauveur je profitais de mon nouveau corps alors qu’une faim dont je ne connaissais l’existence me tordait l’estomac. Je devais manger, non ! Je devais boire mais pas n’importe quoi, il me fallait du sang. Malgré l’horreur de ce sentiment mon envie était si forte qu’en peu de temps je me retrouvais dans la rue. Mon regard se posa sur la seule et unique personne qui se trouva sur son mon chemin. Je me jetais alors sur lui tout en l’étouffant de mes bras … Je ne pus dire le mélange d’émotion qui traversa mon être. Je venais de tuer ma première personne et je n’en avais pas honte !!!! Pourtant avec le temps mon chemin prit une direction que mon créateur n’appréciait guère et nous nous séparâmes un soir de pleine lune, une nuit pleine de regrets mais aussi à l’avenir florissant. Les années passèrent sans pour autant que les rides viennent marquer mon visage. Peu à peu le jeu et la chasse devient de moins en moins divertissant. Et malgré le plaisir que je prenais à les vider de leur sang, l’horreur que m’inspirait leur sacrifice me hantait chaque nuit dès que mes yeux se fermaient. Pourtant malgré tout mes efforts il me fallut encore plus de temps pour me sevrer et surtout pour calmer le monstre qui sommeillait en moi. Et même maintenant si je ne tue plus aucune personne, le sang m’attire toujours autant et le meurtre reste toujours une tentation dans mon esprit. Devenue professeur j’ai toujours aimé faire partager mon savoir … Et vu que chaque jour est différent, je ne peux vous dire de quoi demain sera fait !

Lilly A. Manson a écrit:

○ Profession ; Coiffeuse (est ce que c'est possible de le changer ?x))

OUHHH * hurle comme un déchaîné et fais la vague * Je me rend compte qu'on se connait pas encore.
ENCHANTÉ, moi c'est Liam mais tu peux faire comme tout le monde et m'appeler tout bêtement " SA MAJESTÉ "

MAIS OÙ VA CETTE FICHE ?!

Bienvenue ma belle Lilly. Très belle histoire, en passant. Je ne sais pas si cette dernière est terminée mais une fois qu'elle le sera, ça me fera un grand plaisir de te valider. Je n'ai pas l'habitude d'aimer Keira mais je dois avouer que ce PV fait en sorte que je l'adoooooooooore . Enfin bref, bonne chance.

Excellente fiche ma belle Lilly. Je te valide donc !